le merveilleux henry sugar Bonjour Ă tous, laissez-moi d’abord vous parler de moi. Je suis un brillant cd passif de 23 ans, mesurant 185 cm, pesant 77 kg, qui prend rĂ©guliĂšrement tout son corps. J’ai rencontrĂ© 11 belles personnes jusqu’Ă prĂ©sent. Dans mes deux histoires prĂ©cĂ©dentes, j’ai racontĂ© ma premiĂšre expĂ©rience et mon expĂ©rience actuelle il y a quelques mois. Cette fois, je parlerai de mon ami que j’ai rencontrĂ© sur Internet et rencontrĂ© aux bains publics et de l’expĂ©rience que j’ai vĂ©cue avec lui. Nous avons eu des rĂ©unions avec lui pendant longtemps aprĂšs le bain.
Comme je l’ai dit, nous avons rencontrĂ© cet ami actif d’Internet, que j’habite dans le mĂȘme quartier, et aprĂšs que nous ayons parlĂ© un peu en vidĂ©o et que nous nous soyons rassurĂ©s, j’ai suggĂ©rĂ© que nous nous retrouvions au bain public voisin. Il m’a parlĂ© de son jour de congĂ©, et je me suis prĂ©parĂ© pour ce jour-lĂ . Ă partir de la nuit, je suis entrĂ© dans le rĂ©gime hydrique que j’ai dĂ©finitivement fait avant la rĂ©union de ce jour-lĂ ; j’ai bien nettoyĂ© mes entrailles plusieurs fois au cours de la journĂ©e. En mettant ma serviette, mes bretelles noires et ma jupe liseli dans mon sac, je suis partie avec mon jean moulant et dĂ©chirĂ©. Ă cette Ă©poque, j’avais environ 70 kg et j’Ă©tais maigre â dĂ©jĂ , mĂȘme lorsque je sortais dans ces vĂȘtements, les gens me regardaient Ă©trangement. Sans y prĂȘter attention, j’ai sautĂ© sur mon vĂ©lo et j’ai commencĂ© Ă me rendre aux bains publics. Mon ami m’attendait Ă l’entrĂ©e. Je l’ai saluĂ© avec un sourire et aprĂšs une courte conversation, nous sommes entrĂ©s ensemble
â nous avons pris nos pagnes et sommes allĂ©s dans une cabine pour nous prĂ©parer, oĂč nous avons eu la clĂ© â dĂšs que nous sommes entrĂ©s, âTu es trĂšs sexy.“alors il s’est approchĂ© de moi et nous avons commencĂ© Ă nous embrasser tranquillement. Il me suçait le cou et enlevait mon haut en mĂȘme temps. Il a commencĂ© Ă embrasser et Ă sucer mes seins nus. J’ai commencĂ© Ă gĂ©mir de plaisir. J’avais hĂąte de sucer sa bite; pendant qu’il caressait mes fesses nues d’une main et me serrait fort et me suçait les lĂšvres, j’ai commencĂ© Ă caresser son pantalon avec ma main et j’ai dit: âJe veux sucer.J’ai dit. Il a dĂ©bouclĂ© sa ceinture et je me suis mis Ă genoux devant lui. Il avait une trĂšs belle bite Ă©paisse d’environ 18 cm â dĂšs que j’ai vu la bite, je me suis Ă©vanoui et j’ai commencĂ© Ă inhaler son odeur en enfouissant d’abord ma tĂȘte dans ses couilles et en les exploitant.
En partant du bas, je suis sorti en dĂ©plaçant ma langue vers son torse et sa tĂȘte et j’ai plantĂ© un baiser reconnaissant sur sa tĂȘte et l’ai pris dans ma bouche. J’ai commencĂ© par la fameuse fellation. Au bout d’un moment, il a Ă©galement commencĂ© Ă baiser mes lĂšvres avec des mouvements de va-et-vient. Quand sa bite a commencĂ© Ă se contracter dans ma bouche, j’ai rĂ©alisĂ© qu’il Ă©tait sur le point de jouir. Sans la sortir de ma bouche, j’ai continuĂ© ma fellation en l’exploitant durement avec toutes mes putes et en caressant ses couilles avec ma main. Pendant ce temps, je regardais dans les yeux de mon homme comme une pute affamĂ©e qui s’enivrait de bite avec la libertĂ© crĂ©Ă©e par ma gratitude impuissante. Cette image l’aurait excitĂ© encore plus, peut-ĂȘtre parce que j’avais l’impression de traire ses couilles pleines depuis des semaines; j’ai instinctivement continuĂ© Ă exploiter plus fort l’adorable bite que je coincais encore entre mes lĂšvres douces et salopes, tout en injectant des dĂ©coctions complĂštes dans ma bouche. J’ai bu du sperme dĂ©licieux et juteux comme une chienne affamĂ©e.
Je l’ai sorti de ma bouche avec le plaisir de terminer ma tĂąche en trayant le coq, oĂč je sentais encore ses contractions, descendant vers le bas et le sĂ©chant complĂštement avec mes lĂšvres, et j’ai regardĂ© dans les yeux de mon Junkie sur mes genoux et embrassĂ© la tĂȘte de son coq une derniĂšre fois aprĂšs un sourire satisfait. Il m’a attrapĂ© par l’Ă©paule, m’a soulevĂ© et a plantĂ© un baiser sur mes lĂšvres. Nous avons mis nos pagnes, quittĂ© la cabine et sommes descendus aprĂšs avoir verrouillĂ© la porte â les gens qui ont vu ma peau lisse et brillante avaient l’air Ă©trangement, mais je me fichais de cette situation parce que j’avais mon baiseur avec moi.
Nous sommes d’abord allĂ©s au bain finlandais, puis au sauna â c’Ă©tait mon premier voyage au bain, et depuis que je prenais une douche quotidienne, rien ne sortait de mon corps sauf de la saletĂ©. J’Ă©tais content de cette situation sĂ©parĂ©ment. Ensuite, nous sommes entrĂ©s dans la cĂ©lĂšbre salle de bain en pierre du ventre et nous nous y sommes baignĂ©s magnifiquement â un peu plus tard, nous avons appuyĂ© sur une cloche qui a atteint l’Ă©tage pour une pochette et un massage et avons commencĂ© Ă attendre les caissiers. Tellak Ă©tait moustachu et en surpoids Ă l’Ăąge mĂ»r; il Ă©tait exactement ce que je voulais. Pendant un moment, j’ai souhaitĂ© qu’il soit mon baiseur. Tellak a Ă©tĂ© surpris quand il a vu mon corps brillant et quand il est allĂ© se faire masser aprĂšs le sac en mousse, il a soulevĂ© mon slip de bain et a commencĂ© Ă toucher lĂ©gĂšrement mon trou.
Pendant qu’il continuait Ă toucher mon trou par erreur, je soulevais bien ma hanche et la dĂ©plaçais de gauche Ă droite pour rĂ©vĂ©ler mon trou alvĂ©olĂ© vers l’intĂ©rieur, ce qui Ă©tait Ă©vident d’aprĂšs la bosse oĂč il avait Ă©tĂ© baisĂ© auparavant. Tellak aurait Ă©galement remarquĂ© cette situation, alors quand il est montĂ© Ă l’Ă©tage, tout en continuant le massage, il s’est penchĂ© et m’a dit Ă l’oreille: „Es-tu passif, je suppose?“il a demandĂ©. „Oui, nous sommes venus avec mon ami actif Ă cĂŽtĂ©.J’ai dit. „Est-ce ainsi? Je suis actif aussi. J’adore quand je suis plein de luminositĂ© comme toi. L’ami a beaucoup de chance. Tu portes des vĂȘtements aussi?“dit-il. „oui. Nous passerons Ă mon ami aprĂšs ici. Nous continuerons lĂ -bas. J’aimerais expĂ©rimenter avec deux actifs.J’ai dit. „Nous parlerons quand le massage sera terminĂ©.“il a dit et a atterri sur mes hanches et a grattĂ© le slip de bain de cĂŽtĂ©. Mon trou de pute Ă©tait au milieu comme une citrouille. Il se pencha de nouveau et dit: „Ton trou est grand, tout comme ton corpsâŠ
Tu as dĂ©jĂ mangĂ©.“dit-il. Je l’ai confirmĂ© avec un gĂ©missement, et cette fois j’ai levĂ© ma hanche bien en l’air. Tellak a enfoncĂ© son pouce dans mon trou mousseux. J’ai gĂ©mi de façon incontrĂŽlable. Mon autre amie, qui Ă©tait active, avait terminĂ© son massage. Il s’est levĂ©, a enveloppĂ© son pagne et est venu vers moi. Quand il a vu la main de l’esquisse dans son trou, il a dit: „Vous en avez trouvĂ© une autre active.“il sourit en disant. J’ai prĂ©sentĂ© le fil et exprimĂ© mon dĂ©sir d’ĂȘtre avec deux personnes actives. Putain “ Bien sĂ»r.“dit-il. Tellak a dit: „Vous ĂȘtes un homme trĂšs chanceux. Il est presque impossible de trouver une telle passivitĂ©.“il disait. Il n’y avait plus personne dans la salle de massage. Prenant courage de cela, mon baiseur a sorti sa bite et l’a mise dans ma bouche. Tellak a versĂ© de l’eau sur mes cuisses, les a rincĂ©es et s’est fourrĂ© dans mon trou. D’un cĂŽtĂ©, je baisais ma bouche avec une pipe, de l’autre cĂŽtĂ©, je suçais mon trou dans le fil qui trempait doucement sa moustache.
Au bout d’un moment, il a soulevĂ© la presse tellak entre mes fesses et a dit: âAllons Ă la cabane. DĂ©c.“dit-il. Mon baiseur a recouvert sa bite de son pagne, et je me suis levĂ© de l’endroit oĂč j’Ă©tais allongĂ©. Tellak, ma baise et moi sommes allĂ©s Ă la cabane. Tellak s’assit et rĂ©vĂ©la sa queue. Il Ă©tait plus Ă©pais et plus gros que celui de mon baiseur, mais plus court. Alors je me suis mis en position de chien et je l’ai mis dans ma bouche pour soulever la bite. J’exploitais des balles et j’aspirais sa tĂȘte. Le coq a progressivement grandi et remplissait maintenant complĂštement ma bouche. C’Ă©tait tellement Ă©pais et j’avais hĂąte de le prendre. Mon baiseur a arrĂȘtĂ© de me lĂ©cher le dos et a fait mousser sa bite et mon trou; il a commencĂ© Ă pratiquer la porte de mon cul en faisant lentement la tĂȘte d’avant en arriĂšre et pour que mon trou Ă©troit puisse l’accueillir confortablement.
Il plongeait sa tĂȘte dedans et la plongeait dehors et me soufflait quand il me faisait une pipe. Actif avec une grosse bite, c’est gĂ©nial; actif qui sait baiser un cul est fascinant, et vous lui abandonnez tout votre corps avec gratitude. Mon baiseur, aprĂšs avoir ouvert la porte de mon trou et l’avoir rendu assez salope, il a commencĂ© Ă charger lĂ©gĂšrement, et aprĂšs avoir franchi la porte, il a tout enracinĂ©. C’Ă©tait un sentiment de satisfaction tellement parfait que d’un cĂŽtĂ© il y avait une grosse bite qui remplissait mon cul et de l’autre cĂŽtĂ© il y avait une grosse bite que je me suis Ă©vanouie et que j’ai sucĂ©e avec plus de dĂ©sir et d’appĂ©tit… Je gĂ©missais involontairement. Mon baiseur faisait si bien son travail qu’au dĂ©but, il n’a pas trop prolongĂ© la distance aller-retour et a pompĂ© fort avec de courts coups.
AprĂšs cela, au fur et Ă mesure que mon cul s’est habituĂ© Ă la bite, il a progressivement augmentĂ© la distance entre l’entrĂ©e et la sortie vers moi. Quand je volais comme ça, je gĂ©missais et lĂ©chais la grosse bite devant moi avec plus d’appĂ©tit; je l’exploitais presque. Mon baiseur accĂ©lĂ©rait bien derriĂšre moi, pompant follement â au bout d’un moment, il a sorti sa bite de mon cul et a tirĂ© trente et un vers mon dos, a giclĂ© son sperme sur le dessus de mon trou et sur mes fesses avec un canon Ă eau; dans ce cas, il a de nouveau enracinĂ© sa bite en moi et l’a retirĂ©e, et j’ai utilisĂ© mon autre main pour saisir mon baiseur, oĂč j’ai sucĂ© les particules de sperme restantes sur sa bite, assis sur mes genoux tout en tirant trente et un avec une main sur la bite du fil.
Je n’Ă©tais pas rassasiĂ©.
Je voulais ta grosse bite qui, je pensais, allait me dĂ©foncer le cul. J’ai Ă©talĂ© le sperme enduit sur mon trou agrandi, que mon homme a baisĂ© follement et l’a bien nourri dans le trou; et j’ai mis ceux enduits sur ma main jusqu’Ă l’estomac avec plaisir. Quand mon fil Ă©tait assis, je me suis assis dessus avec hĂ©sitation; j’ai alignĂ© la bite sur mon cul et j’ai commencĂ© Ă forcer la porte Ă entrer dans mon trou de maniĂšre contrĂŽlĂ©e. J’avais l’impression que j’allais dĂ©chirer, mais c’Ă©tait un sentiment trĂšs agrĂ©able. Je lui ai permis de pomper en moi en sautant sur sa tĂȘte pendant un moment, et ce n’Ă©tait pas difficile pour moi d’exploiter le tout avec mon trou, qui s’habituait Ă cette nouvelle bite.
J’ai commencĂ© Ă rebondir sur les genoux de mon homme avec une expression reconnaissante et nĂ©cessiteuse. Il me giflait les cuisses et ça me donnait encore plus de dĂ©sir. Mon caissier a joint ses deux mains sur ma hanche et a commencĂ© Ă me faire rebondir comme un cheval dessus. Il baisait tellement chaud et dur que je n’en pouvais plus et j’ai Ă©jaculĂ©. MĂȘme si je suis venu, j’Ă©tais trĂšs dĂ©sirable. Je me suis Ă©vanoui. Mon putain de cul n’arrĂȘtait pas de me claquer les joues et de me faire sauter sur ses genoux. Au bout d’un moment, il a criĂ© et m’a fait jeter tout son sperme Ă l’intĂ©rieur. J’ai serrĂ© ton cou dans mes bras; je suis restĂ© comme ça pendant un moment, et quand sa bite dĂ©colorĂ©e est sortie de mon cul toute seule, je suis descendu de ses genoux et me suis agenouillĂ© devant lui et j’ai lĂ©chĂ© le sperme sur sa bite et l’ai avalĂ©.
Et j’avais l’habitude de ramasser le sperme qui coulait de mon cul avec ma main et de le voir dans ma bouche, et j’ai remerciĂ© mes baiseurs.
J’avais hĂąte de me lever le soir et d’aller chez mon enculĂ© avec tellak.
Ă suivre.